From: "lnfo" <mmojnoz@101conseils.fr>Dr utmr,
Date: Tue, 16 Apr 2024 13:51:32 +0200
Subject: Ναtաеѕtgrоuр:Confirm your primary phone number!
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Wrm rgrd.
Νtwtgru tm.
L’ASSOCIAZIONE SPORTIVA ROMA, littéralement _Association sportive
Rome_, abrégée en AS ROMA, couramment appelée ROMA en italien
et AS ROME en français ; est un club de football
<Suspicious hyperlink> italien
<Suspicious hyperlink> fondé en 1927 et situé
à Rome <Suspicious hyperlink> . Le club possède
également une section féminine
<Suspicious hyperlink> évoluant
en Serie A
<Suspicious hyperlink> .
Les couleurs du club, le jaune et le rouge, plus spécifiquement le
pourpre et l’or, sont celles de la ville de Rome. Le symbole de la
Roma est la Louve capitoline
<Suspicious hyperlink> , associée à la
légende de la fondation
<Suspicious hyperlink> de la Ville
éternelle <Suspicious hyperlink> , le 21 avril
<Suspicious hyperlink> 753 av. J.-C
<Suspicious hyperlink> .
Trois titres de champion d’Italie
<Suspicious hyperlink> ,
neuf Coupes d’Italie
<Suspicious hyperlink> ,
une Coupe des villes de foire
<Suspicious hyperlink> (ancienne coupe
de l’UEFA <Suspicious hyperlink> ), une Ligue
Europa Conférence
<Suspicious hyperlink> et
deux Supercoupes d’Italie
<Suspicious hyperlink> composent le
palmarès d’un des clubs les plus titrés et un des plus populaires du
football italien.
La Roma est le club supporté en large majorité dans la Ville
éternelle <Suspicious hyperlink> , et le 5ème club plus
supporté d’Italie avec près de 2 millions de _tifosi_3
<Suspicious hyperlink> dans
la Botte. La rivalité
<Suspicious hyperlink> avec l’autre club
professionnel de la capitale, la Lazio
<Suspicious hyperlink> , est l’une
des plus fortes au monde4
<Suspicious hyperlink> ,5
<Suspicious hyperlink> .
La Roma fut le premier club du Centre-Sud italien à remporter le
championnat national, en 1942
<Suspicious hyperlink> ,
et constitue depuis sa fondation l’opposition la plus sérieuse à
l’emprise habituellement exercée sur la Serie A
<Suspicious hyperlink> par
les trois clubs de la Triade lombardo-piémontaise (l’Inter
<Suspicious hyperlink> , le Milan
<Suspicious hyperlink> et
la Juventus <Suspicious hyperlink> ).
Il est l’un des rares clubs à avoir disputé une finale de Ligue des
champions
<Suspicious hyperlink> à
domicile, le 30 mai 1984 face à Liverpool
<Suspicious hyperlink> , match perdu
tragiquement après la séance des tirs au but6
<Suspicious hyperlink> .
La date du 30 mai est à marquer d’une pierre noire pour le club. Dix
ans jour pour jour après cette finale, le 30 mai 1994, l’ancien
capitaine et idole des _tifosi romanisti_, Agostino Di Bartolomei
<Suspicious hyperlink> , mettra fin à
ses jours7
<Suspicious hyperlink> .
La Roma joue ses matchs à domicile au Stadio Olimpico
<Suspicious hyperlink> de Rome, dans
le centre sportif du Foro Italico
<Suspicious hyperlink> , au Nord de la ville. En
opposition aux tifosi de la Lazio, les romanisti occupent le virage
Sud du stade : la _Curva Sud_.
À l’international, le club est mondialement connu pour la fidélité
qui lui est portée par certains de ses meilleurs joueurs. Francesco
Totti <Suspicious hyperlink> et Daniele De
Rossi <Suspicious hyperlink> , anciens
capitaines du club, romains de naissance et champions du monde en
2006, ont endossé le maillot _giallorosso_ durant toute leur
carrière malgré les offres reçues des meilleures équipes d’Europe8
<Suspicious hyperlink> .
Forte de cette image, la Roma est le 15ème club le plus supporté au
Monde, avec un bassin de près de 22 millions de supporters9
<Suspicious hyperlink> .
Attilio Ferraris IV
<Suspicious hyperlink> , Fulvio Bernardini
<Suspicious hyperlink> , Guido Masetti
<Suspicious hyperlink> , Amedeo Amadei
<Suspicious hyperlink> , Giacomo Losi
<Suspicious hyperlink> , Agostino di Bartolomei
<Suspicious hyperlink> , Bruno Conti
<Suspicious hyperlink> , Roberto Pruzzo
<Suspicious hyperlink> , Giuseppe Giannini
<Suspicious hyperlink> , Francesco Totti
<Suspicious hyperlink> et Daniele De Rossi
<Suspicious hyperlink> sont les légendes
le plus fréquemment associées à la riche histoire de la _Magica_.
En près de 90 années d’existence, les supporters _giallorossi_ ont
également eu le privilège de voir évoluer sous leurs couleurs
d’autres joueurs de grande renommée, tels qu’Alcides Ghiggia
<Suspicious hyperlink> , Fabio Capello
<Suspicious hyperlink> , Falcão
<Suspicious hyperlink> , Carlo
Ancelotti <Suspicious hyperlink> , Rudi
Völler <Suspicious hyperlink> , Aldair
<Suspicious hyperlink> , Cafu
<Suspicious hyperlink> , Gabriel Batistuta
<Suspicious hyperlink> ou Edin Deko
<Suspicious hyperlink> . La plupart de ces
joueurs figurent dans la Hall of Fame de l’AS Roma, créée en 201210
<Suspicious hyperlink> .
Le président actuel du club est l’américain Dan Friedkin
<Suspicious hyperlink> . La cellule sportive est
organisée autour des portugais Tiago Pinto, directeur sportif, et le
célèbre _manager_ José Mourinho
<Suspicious hyperlink> , entraîneur de
l’équipe depuis le 4 mai 2021.
Au 17 mars 2023, à la suite de sa qualification pour les quarts de
finale d’Europa League <Suspicious hyperlink> ,
la Roma est classée 10ème au classement UEFA des clubs11
<Suspicious hyperlink> ,
basé sur les résultats obtenus dans les compétitions européennes
lors des 5 dernières années.
HISTOIRE[MODIFIER
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GENÈSE[MODIFIER
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LE CODE
<Suspicious hyperlink> ]
<Suspicious hyperlink>
Arbre généalogique de l’AS Rome.
L’Associazione Sportiva Roma est fondée le 22 juillet
<Suspicious hyperlink> 1927
<Suspicious hyperlink> . Durant cette
époque, la ville de Rome
<Suspicious hyperlink> possède déjà cinq clubs dans
le championnat italien que sont l’Alba Audace, Fortitudo, Pro Roma,
Roman F.C. et la Lazio <Suspicious hyperlink> .
L’équipe dirigeante de la Lazio refuse toute discussion et finalement
c’est la fusion des quatre autres clubs qui donne naissance à l’AS
Rome. Le club évolue au départ dans le _Motovelodromo Appio
<Suspicious hyperlink> _, puis dans
le _Campo Testaccio_ et le _Stadio Flaminio
<Suspicious hyperlink> _ (auparavant _Stadio
Nazionale_ et _Stadio Torino_, depuis la tragédie de Superga
<Suspicious hyperlink> ou
l’équipe du Torino
<Suspicious hyperlink> périt dans la
chute de son avion en 1949), pour finalement s’installer dans
le _Stadio Olimpico
<Suspicious hyperlink> _ construit en 1952
<Suspicious hyperlink> .
Les _Giallorossi_ pour la 1re fois champion d’Italie en 1942.
L’AS Rome prend part à son premier championnat de Série A en 1929
<Suspicious hyperlink> . Vice-champion en
1931 et en 1936, le club remporte son premier _Scudetto
<Suspicious hyperlink> _ en 1942
<Suspicious hyperlink> (il faudra
attendre 1983 <Suspicious hyperlink> pour
le second et 2001
<Suspicious hyperlink> pour le troisième).
Le club est relégué en Série B à l’issue de la saison 1951
<Suspicious hyperlink> mais remonte
directement en Série A la saison suivante.
RETOUR AU PREMIER PLAN[MODIFIER
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LE CODE
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L’arrivée de joueurs talentueux coïncide avec le retour au premier
plan du club. En effet, Bruno Conti
<Suspicious hyperlink> (champion du monde
en 1982 <Suspicious hyperlink> avec
l’Italie), Agostino Di Bartolomei, Roberto Pruzzo et le Brésilien
<Suspicious hyperlink> Falcão
<Suspicious hyperlink> , permettent
au club d’atteindre les meilleurs classements de son histoire. Le club
romain est ainsi récompensé par le _Scudetto_ en 1983
<Suspicious hyperlink> (devant la Juventus
<Suspicious hyperlink> où évolue
alors Michel Platini <Suspicious hyperlink> )
et par une finale de Ligue des champions
<Suspicious hyperlink> en 1984
<Suspicious hyperlink> (perdue face
au Liverpool FC
<Suspicious hyperlink> aux tirs au
but 2-4). Le club est également vice-champion d’Italie en 1984
<Suspicious hyperlink> et 1986
<Suspicious hyperlink> et troisième
en 1988 <Suspicious hyperlink> , avant que
le grand Milan AC <Suspicious hyperlink> de Marco
van Basten <Suspicious hyperlink> et
le SSC Naples <Suspicious hyperlink> de Diego
Maradona <Suspicious hyperlink> ne prennent
les commandes de la Série A. S’ajoutent aussi les victoires en Coupe
d’Italie de football
<Suspicious hyperlink> en 1980,
1981, 1984 et 1986.
ANNÉES 1990 : LE CALME PLAT[MODIFIER
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LE CODE
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Les années 1990 sont marquées par une absence de placements de
relief en série A malgré la présence de joueurs champions du monde
comme Rudi Völler
<Suspicious hyperlink> , Thomas Hässler
<Suspicious hyperlink> , Thomas Berthold
<Suspicious hyperlink> , Vincent Candela
<Suspicious hyperlink> , Aldair
<Suspicious hyperlink> ou Cafú
<Suspicious hyperlink> .
L’unique victoire intervient en Coupe d’Italie
<Suspicious hyperlink> en 1991
<Suspicious hyperlink> contre la Sampdoria
de Gênes <Suspicious hyperlink> plus une
finale perdue face au Torino FC
<Suspicious hyperlink> en 1993
<Suspicious hyperlink> . En 1991, la Roma
joue sa troisième finale européenne en Coupe UEFA
<Suspicious hyperlink> , un match perdu contre
l’Inter Milan <Suspicious hyperlink> 0-2 et 1-0.
ANNÉES 2000 : LES ROMAINS AU SOMMET[MODIFIER
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LE CODE
<Suspicious hyperlink> ]
Le 17 juin 2001 – Roma-Parma 3–1: Les fans célèbrent
le 3e titre.
L’année 2001
<Suspicious hyperlink> marque le troisième
et pour le moment dernier titre de championnat glané par l’AS Rome,
grâce à un cocktail explosif en attaque composé de Gabriel
Batistuta <Suspicious hyperlink> , Vincenzo
Montella <Suspicious hyperlink> , et Marco
Delvecchio <Suspicious hyperlink> avec
l’émergence sans doute du meilleur joueur italien des années
2000, Francesco Totti
<Suspicious hyperlink> . Cette même année le
club remporte sa première Supercoupe d’Italie
<Suspicious hyperlink> contre l’ACF
Fiorentina <Suspicious hyperlink> (3-0).
À partir de ce moment-là, l’AS Rome ne lâche plus les quatre
premières places synonymes de Ligue des champions
<Suspicious hyperlink> en
compagnie de la Juventus
<Suspicious hyperlink> , du Milan AC
<Suspicious hyperlink> et de l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> . La saison 2005-2006 est
marquée par l’Affaire des matches truqués du Calcio
<Suspicious hyperlink> où
la Juve <Suspicious hyperlink> et
le Milan AC <Suspicious hyperlink> sont mis en
cause ; cela permet à l’AS Rome de retrouver une place de
vice-champion et de se projeter « sereinement » sur la saison
2007. Après une belle campagne européenne, la Roma cède
douloureusement en quarts de finale contre Manchester United
<Suspicious hyperlink> 7-1. En
championnat, malgré un parcours de champion, le club termine second,
derrière l’Inter, véritable machine à gagner en cette saison 2006
<Suspicious hyperlink> -2007
<Suspicious hyperlink> . Mais c’est en Coupe
d’Italie <Suspicious hyperlink> ,
après deux échecs successifs contre l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> en finale, que la Roma
prend sa revanche en triomphant de ces mêmes intéristes grâce à
une victoire 6-2 à l’Olimpico
<Suspicious hyperlink> . La défaite 2-1
à San Siro <Suspicious hyperlink> ne fait
que confirmer l’avantage pris à l’aller. Francesco Totti
<Suspicious hyperlink> , véritable symbole du
club, soulève pour la première fois de sa carrière le trophée le
17 mai 2007.
Totti brandissant la Coupe d’Italie 2007-2008.
Ensuite, la Roma s’impose aussi en Supercoupe d’Italie
<Suspicious hyperlink> (sa deuxième)
1-0 face à ces mêmes intéristes.
La Roma réussit un bel exploit en éliminant le Real Madrid
<Suspicious hyperlink> en Ligue
des champions
<Suspicious hyperlink> le 5
mars 2008 à Madrid sur le score de 2 à 1 pour le compte du match
retour des huitièmes de finale (2-1 au match aller pour la Roma au
stade Olimpico). Malheureusement, au tour suivant, la Roma se fait
sortir par la meilleure équipe du moment, le Manchester United (0-2
et 0-1) pour la deuxième année consécutive. À deux doigts de
remporter le _Scudetto_ 2008 (les Romains sont virtuellement leaders
pendant une heure lors de la dernière journée), ceux-ci voient,
impuissants car n’ayant pas leur sort entre leurs mains, les
intéristes remporter un nouveau _scudetto_, avant de s’imposer face
à ceux-ci au Stadio Olimpico
<Suspicious hyperlink> pour le compte de la
finale de la Coupe d’Italie, sur le score de 2-1, avec des buts
de Philippe Mexès
<Suspicious hyperlink> et Simone
Perrotta <Suspicious hyperlink> .
À l’inter-saison, Matteo Ferrari
<Suspicious hyperlink> quitte le club car il
arrive en fin de contrat pour rejoindre le Genoa CFC
<Suspicious hyperlink> , de même pour le
Français Ludovic Giuly
<Suspicious hyperlink> qui quitte le club pour
rejoindre le Paris Saint-Germain
<Suspicious hyperlink> ainsi que Mauro
Esposito <Suspicious hyperlink> qui est
prêté au Chievo Verone
<Suspicious hyperlink> . La Roma compte comme
première acquisition le Norvégien John Arne Riise
<Suspicious hyperlink> (ex-joueur
de Liverpool FC <Suspicious hyperlink> ) et
comme second le Brésilien Julio Baptista
<Suspicious hyperlink> en provenance du Real
Madrid
<Suspicious hyperlink> .
Président de la Roma depuis 1993, Franco Sensi
<Suspicious hyperlink> décède le 17 août
2008 à la suite de complications d’une crise pulmonaire. À la fin du
mois d’août 2008, après avoir perdu la supercoupe d’Italie
contre l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> à San Siro
<Suspicious hyperlink> (2-2, puis 8-7 aux
tirs au but), les Romains obtiennent le jeune attaquant
français Jérémy Ménez
<Suspicious hyperlink> en
provenance de l’AS Monaco
<Suspicious hyperlink> (contrat de 4 ans). Le 29
août 2008, la fille de Franco Sensi
<Suspicious hyperlink> , Rosella Sensi
<Suspicious hyperlink> devient la nouvelle
présidente de l’AS Roma et succède ainsi à son père décédé
quelques jours plus tôt.
LE DÉCLIN[MODIFIER
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LE CODE
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La saison 2008 <Suspicious hyperlink> -2009
<Suspicious hyperlink> est bien décevante
pour les _Giallorossi_. Le début de saison est catastrophique,
marqué par une série de défaites et notamment à domicile 0-4 face
à l’Inter de Milan <Suspicious hyperlink> ,
une 17e place en championnat (record absolu depuis plus d’une
cinquantaine d’années). Au fil du temps, l’AS Roma retrouve de
meilleurs résultats, notamment après sa victoire face à la SS
Lazio <Suspicious hyperlink> lors du derby (1-0),
et réalise une belle série de victoires en Série A
<Suspicious hyperlink> , ce
qui lui permet d’espérer encore à une 4e place, place
qualificative pour la Ligue des champions
<Suspicious hyperlink> . Dans
cette compétition, les Romains se réveillent et terminent à la
première place de leur groupe devant Chelsea
<Suspicious hyperlink> , et
les Girondins de Bordeaux
<Suspicious hyperlink> , que les Romains
condamnent à la 3e place au Stadio Olimpico
<Suspicious hyperlink> lors de la dernière
journée (2-0). Les Romains entament l’année 2009 par de bons
résultats en championnat, qui les replacent directement dans la
course à la 4e place. En Ligue des champions
<Suspicious hyperlink> , les
Romains héritent du club anglais d’Arsenal
<Suspicious hyperlink> en 8e de
finale. Malheureusement, ils se font éliminer au match retour, qu’ils
remportent 1-0 accédant ainsi à la prolongation et aux tirs au but,
mais qu’ils perdent la tête haute (6-7). Cette défaite abaisse
considérablement le moral de l’équipe, qui traverse un deuxième
passage à vide, et qui condamne le club à une 6e place, quand
même européenne.
RETOUR AUX SOMMETS[MODIFIER
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LE CODE
<Suspicious hyperlink> ]
Lors de la saison 2009-2010
<Suspicious hyperlink> , à la
suite de victoires sur des scores fleuves en qualifications en Ligue
Europa <Suspicious hyperlink> contre
des équipes modestes et après deux journées de championnat, la Roma
se retrouve seule sur la dernière marche du classement de Serie A
<Suspicious hyperlink> . Luciano
Spalletti <Suspicious hyperlink> prend
alors la décision de démissionner de son poste d’entraîneur et est
remplacé par Claudio Ranieri
<Suspicious hyperlink> . L’espoir
italien, Alberto Aquilani
<Suspicious hyperlink> est vendu
au Liverpool FC <Suspicious hyperlink> lors
du mercato <Suspicious hyperlink> estival
provoquant quelques déceptions chez les supporters.
Francesco Totti, _Capitano_ historique de l’AS Rome.
Le club de la louve finit l’année 2009 sur une série de dix matchs
sans défaites toutes compétitions confondues (avec une victoire
contre la SS Lazio <Suspicious hyperlink> ), en
accrochant la quatrième place face à Parme Football Club
<Suspicious hyperlink> , ainsi qu’une
qualification en seizième de finale de la Ligue Europa 2009-2010
<Suspicious hyperlink> contre
le Panathinaïkos
<Suspicious hyperlink> . Le 2
janvier 2010, Luca Toni
<Suspicious hyperlink> signe à la Roma pour un
prêt de six mois, avec option d’achat.
La deuxième partie de saison de la Roma s’avère être un véritable
coup de tonnerre dans la hiérarchie de la Série A
<Suspicious hyperlink> .
Malgré une élimination en Ligue Europa
<Suspicious hyperlink> contre le club grec
de Panathinaïkos
<Suspicious hyperlink> , Roma
mène en championnat une incroyable série de 24 résultats
consécutifs sans concéder une défaite. Cette série est marquée
par une victoire à l’extérieur contre la Juventus
<Suspicious hyperlink> (1-2),
arrachée par John Arne Riise
<Suspicious hyperlink> dans les dernières
minutes, et une victoire à domicile contre le leader, l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> (2-1), grâce notamment
à un but de Luca Toni <Suspicious hyperlink> .
Quelques jours plus tard, à l’occasion d’une nouvelle victoire contre
l’Atalanta <Suspicious hyperlink> (2-1), les hommes
de Claudio Ranieri
<Suspicious hyperlink> s’emparent de la
tête de la Série A
<Suspicious hyperlink> ,
s’ensuit un derby remporté contre la SS Lazio
<Suspicious hyperlink> (2-1). Hélas, deux
défaites, en championnat à domicile contre la Sampdoria
<Suspicious hyperlink> (1-2) à trois journées de
la fin de la saison et contre l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> en finale de la Coupe
d’Italie
<Suspicious hyperlink> (0-1),
les privent de titre. En championnat, le club termine une nouvelle
fois dauphin de l’Inter Milan
<Suspicious hyperlink> , un classement cependant
inespéré lors du début de saison.